La Ville sainte

Tableau peint par : Sr. M. Natalie Stewart Photo : Sr M. Felicia Hirscher © Sœurs de Marie de Schœnstatt Berg Schönstatt 9, 56179 Vallendar, Allemagne

 

La Ville Sainte La Ville Sainte  

La Ville sainte
Tableau peint par : Sr. M. Natalie Stewart
Photo : Sr M. Felicia Hirscher
© Sœurs de Marie de Schœnstatt
Berg Schönstatt 9, 56179 Vallendar, Allemagne

 Natalie est l‘une des 67 sœurs de Marie qui avaient fait le pèlerinage
au Sanctuaire de l'Unité, Thun-St-Martin, le 12 septembre 2024. Lors de sa
préparation au pèlerinage, elle a peint ce tableau et lui a donné le titre :
« La Ville sainte ».

Le regard est d'abord attiré par l’église Notre-Dame en feu, symbole de tant
de choses qui « brûlent » à notre époque.  Le Père Joseph Kentenich, fondateur
de Schœnstatt a dit : « Un ancien monde est en train de brûler ».
 (1941/1942, à la prison de Coblence)

« Les catastrophes dans l'ordre moral sont de plus en plus visibles. L'ancien
ordre mondialet social est ébranlé. ...  Dieu est un Dieu de vie ...
Là où il brise, là où il fait périr, là où il fait mourir, il veut créer une vie nouvelle ... 
Cela doit être un monde glorieux qu'il fait naître de cette mort violente, cela doit
être un ordre merveilleux qu'il veut recréer à partir des catastrophes et des ruines ... » 
(J. Kentenich, 1948)

Sur cette image, on voit le « Sanctuaire de l'Unité » et un grand grain de blé doré,
qui symboliseJoseph Engling. Dans son amour profond pour Marie, il a pu suivre
le Christ et donner sa vie. Le mystère du grain de blé est le mystère de Jésus et
donc de chaque chrétien.
« Aujourd’hui, il y a le grand désir d’un monde nouveau. Mais que signifie en être
la graine ? » 
(J. Kentenich, 1953)
 
Prière de Joseph Engling :
« Petite Mère chérie, Mère Trois fois Admirable, de nouveau je m'offre à toi
comme victime. Je t'offre tout ce que je suis et tout ce que j'ai, mon corps, mon
âme et toutes mes facultés, tout mon avoir et mon bien, ma volonté et ma liberté.
Je veux t'appartenir totalement. Je suis à toi. Dispose de moi et de tout ce qui est
à moi selon ton bon plaisir. Mais si cela peut s’accorder avec tes desseins, alors
laisse-moi m’offrir en sacrifice pour la mission que tu as donné à notre congrégation. 
Humblement, ton indigne serviteur Joseph Engling »

Au champ de bataille, le 3 juin 1918

La Ville sainte, la nouvelle Jérusalem devient le signe de notre  espérance, une
promesse de la gloire de Dieu.
(cf. Ap 21,1-5)

Article publié par Equipe Com' - Sanctuaire de l'Unité • Publié le Samedi 28 septembre 2024 • 927 visites

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